Panem et circenses

ou l'illustration grassoise de cette formule qui va comme un gant à notre gentil organisateur (G.O.) de maire.

Du pain et les jeux du cirque.

Mots de mépris adressés aux Romains par le poète latin Juvénal (v. 60 >---> v. 130) dans ses « Satires ». Il leur reprochait d'être incapables de s'intéresser à d'autres choses qu'aux distributions gratuites de blé et aux jeux du cirque.

 

Un fameux enfumage. Que de la communication, comme toujours !

Lundi 13 mars 2017, au Palais des Congrès, le maire avait convié quelques invités (publicité réduite pour cet événement) à débattre sur le devenir du centre historique de Grasse. Evidemment, les trois ateliers réservés à la réflexion Commerces et animation, Tourisme et culture, Qualité de vie résidentielle, ne disposaient que d'un peu plus d'une heure dans l'après-midi, alors que la matinée avait été consacrée au développement des projets arrêtés par la municipalité. Preuve que les organisateurs n'attendaient rien de ces ateliers.

Les Grassois ne doivent pas être dupes du procédé d'enfumage utilisé par l'équipe municipale pour tenter de nous faire accepter à tout prix l'implantation d'une médiathèque, la construction du nouveau quartier Martelly et les chantiers de la rénovation urbaine.

Les 750.000 €uros de Foncière Europe. M. Viaud a fait une lecture erronée de la décision du conseil d'état.

Le nice-matin du 17 février 2017, page 5, revient sur l'affaire Foncière Europe/Symrise. La ville et la CAPG (communauté d'agglo.) sont rappelées à l'ordre par deux des trois oppositions .... Elles exigent de M. Viaud, président de la CAPG et maire de Grasse, de récupérer les 750.000 €uros indûment versés à Foncière Europe.

M. Viaud, selon le nice-matin, soutient qu'il est faux de prétendre que cette décision (du conseil d'état) et les précédentes (des autres juridictions administratives) portent sur l'obligation de remboursement de 750.000 € à la CPAP par la société Foncière Europe.

Stéphane Cassarini est encore trop gentil

Conseil municipal du mardi 17 janvier 2017. Stépahane Cassarini (liste L'Alternative), lui, a lu les propositions de délibérations. Lui, quand il y a des nombres, il sait les lire, ce qui lui permet de pointer les discordances et autres incohérences dans un paragraphe. Mais lui, il a bien lu et tenté de comprendre le contenu des textes accompagnant les projets de délibérations. Lui pose des questions simples pour lever les incohérences. Mais ça, ça ne plait pas au maire. Alors, tant le maire que sa majorité ont beau jeu de s'appuyer sur un règlement intérieur au conseil municipal pour interdire de parole Stéphane Cassarini. Ils dévoient l'objectif d'un conseil municipal. Mais, même si les affidés aboient bêtement pour soutenir un maire incapable de répondre à une question fermée, il n'en demeure pas moins que ces mêmes béni-oui-oui auraient mieux fait d'éviter au maire de se faire épingler ...

Les bonnes prescriptions du Docteur Dominique Bourret. Un vœu pieux ?

Dans sa présentation des vœux au maire, la porte-parole des élus (de la majorité, simplement!) madame le Docteur Bourret a souhaité que le maire améliore sérieusement la gestion de son temps et qu'il écoute (enfin) les élus de son équipe (voir nice-matin du Vendredi 6.1.2017, page 5).

On comprend aisément que ces conseils sont fondés.

Premières impressions : une réunion trop tardive et un projet mal ficelé

Réunion publique du mercredi 7 décembre 2016, à 18h30, au Palais des Congrès sur le stationnement. Elle a duré trois heures.

Premières impressions:

1- Il faut modifier le mode de fonctionnement de ces réunions :

Les convictions des girouettes

Nice-Matin, p. 16, 5.12.2016 : Pécresse et Ciotti privés de maroquin en cas de victoire de Fillon ?

Fillon aurait déclaré «  … il va y avoir du gros temps, on ne peut pas l'affronter avec des gens qui sautent dans les chaloupes au premier coup de vent. Il faut de la confiance et de la force de caractère ».

A qui profite la stratégie de la mise à mort du centre-ville ?

Les gravats, de la rue Droite à l'avenue Thiers

La vieille ville n'est qu'un vaste chantier, en général un tas de gravats. Faites un tour vers le Rouachier, prévu pour une médiathèque dépassée : des gravats. Passez par la rue Droite, si vous n'êtes pas trop gros : encore des gravats, avec un passage sous tubes d'échafaudages qui, Dieu merci, bénéficie d'un vague éclairage, grand luxe pour un tel coupe-gorge. Pour la rue Mougins Roquefort ...

L'impéritie du maire et l'incurie des conseillers de sa majorité

Grassois, l'heure est grave. Le dernier conseil municipal (mardi 20.9.2016) nous confirme que la ville va droit dans le mur, seule destination connue qu'elle atteindra vraisemblablement sous peu.

Pour bien comprendre que le maire et ses « conseillers » nous mènent dans une impasse, il suffit de mettre en parallèle les recommandations de la cour régionale des comptes (CRC) et certaines délibérations approuvées en conseil municipal.

Pages

S'abonner à Grasse à Goby RSS