429.467 €uros non récupérés – Pfitttt ! Partis en fumée ...
Le T.A. n'a pas autorisé H.P. GOBY et Antoine DE VILLERS a essayer de les récupérer en faveur de la ville de Grasse. Voir mon article du 16.10.2015 « Les pots de terre écrasés par le pot de fer »
En Juillet 2005 le taux de la taxe transport appliqué aux salaires bruts des employés de la ville de Grasse (et des sociétés de plus de neuf employés) était de 1,05 % .
Pour financer le fumeux projet de monsieur Leleux, le funiculaire, la ville de Grasse a vu son taux, appliqué aux salaires bruts, passer successivement à 1,6 % entre août 2005 et décembre 2006, revenir à 1,55 % pendant 10 mois en 2007 puis se stabiliser à 1,5 % jusqu'en juillet 2010. L'effectif moyen a varié de plus de 1120 salariés en 2005, pour diminuer à moins de 1100 salariés en 2006, remonter à plus de 1280 salariés en 2007, monter à quelque 1320 salariés en 2008 et rebaisser à 1240 salariés en 2009 et autour de 1035 salariés en 2010.
Pendant la période août 2005 à Juillet 2010 (cinq ans), les travaux du funiculaire n'ont pas commencé. Le surplus de taxe versé par la commune (au delà du 1,05%) aurait dû lui être reversé … si le maire , d 'abord M. Leleux puis M. Viaud, en avait fait la demande à la communauté d'agglomération du pays de Grasse, bénéficiaire de la taxe transport .
Pendant cette période de cinq ans, les salaires bruts versés par la commune de Grasse se sont élevés à 88.389.343 €uros, la cotisation réelle totale de taxe transport a été de 21.357.665 €uros et le surplus (au delà du 1,05%) de 429.467 €uros. Avec 83.000 €uros par an, on aurait pu en faire, des investissements, notamment, comme reconstruire petit à petit ce canal du Foulon à la limite de la rupture (approvisionnement en eau de la ville) ou acquérir des terrains pour faciliter la circulation et le stationnement à Grasse !
Ne vous étonnez pas que le Grassois que je suis porte un jugement très sévère sur l'utilisation des fonds publics par nos « politiques » irresponsables : ils peuvent engloutir des fortunes, inutilement, et continuer à vivre tranquillement sur le dos des contribuables. Et même, ils se targuent d'être de bons gestionnaires …
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